Si nous sommes blogueurs, c'est dans l'espoir d'être lus et d'avoir quelques échanges. Pour ma part, je préfère l'échange épistolaire et le contact.
Si je fais le clown devant l'ordinateur qui est totalement décérébré, je me brise en morceaux.
Les mots de Corinne m'ont touchée. Elle connaît assez la souffrance pour sentir les pulsions suicidaires. Nous ne vivon plus en humains mais en robots. Bernanos a écrit " La France des robots" (poche).
J'ai bouffé une ration anormale de médicaments hier, notamment des antidépresseurs sérotonergiques, bien que je sois désepérée et non dépressive.
L'isolement me détruit et mon article précédent évoque la relation sponsale.
Pas un mot, pas un signe : et j'ai bouffé une boite de comprimés sans que ceci soit dangereux.
Pardon, mais j'ai trop mal. Je fuis.