9 février 2010
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17:00
Tout démarra par un numéro de téléphone donné dans la nuit à Liza sur son blog. Il n'y a rien d'anormal dans le fait que ce numéro ait pu être lu par d'autres personnes que Liza qui l'a effacé tandis qu'elle me téléphonait.
L'utiliser n'était pas une faute, mais pour des raisons personnelles, je ne souhaitais pas d'appels téléphoniques de personnes que je ne connais que virtuellement. Je ne vis pas seule.... suis engagée. Je n'habite pas chez moi, suis hébergée.
Un homme amoureux de moi alors que j'avais une trentaine d'années me harcelait de téléphones, notamment dans la nuit. Ce harcèlement a duré cinq ans. J'ai failli y laisser ma peau. J'ai appris à me méfier du téléphone.
Mon coeur bat trop vite : c'est une petite conséquence de la prise de médicaments due à ces histoires auxquelles je ne comprends rien.
Liza m'a dit qu'elle connaissait Didier depuis trois ans. Je ne comprends pas pourquoi ni comment elle donne à Didier l'accès de sa boite e-mail, parce qu'il se blesse avec des messages liés aux dialogues que j'ai eus avec Liza qui s'est présentée comme l'amie de Didier, ce que je respecte totalement.
Ce genre de sacs de noeuds blesse tout le monde.
Que ceci nous serve à être prudents dans tout ce qui passe par internet.
Rien ne vaut la lampe à pétrole et le calame.
J'ai demandé pardon dans le blog précédent et je redis combien je suis peinée d'avoir blessé Didier sans le vouloir.
En aucun cas, je ne puis me moquer du décès de sa fille et du décès de son petit fils, décès que je suppose accidentels car je ne suis au courant de rien. J'ai perdu mon fils âgé de quatre ans. Tout ceci est horrible.
J'ai évoqué un homme amoureux de moi : Thierry et sa soeur étaient les seuls survivants d'une famille de neuf enfants. Thierry venait d'être majeur lors du suicide de sa mère. Il a pris en charge sa fille. Brillant étudiant, il avait une maitrise de droit puis a fait L'Ecole du Louvre. La douleur des drames de sa famille l'avait brisé. Néanmoins, il trouva un emploi dans une galerie d'art et monta en grade. J'ai aimé cet homme que la douleur avait brisé. Je souhaite qu'il ait pu retrouver sa sérénité, et une relation d'amour sur tous les plans.....
En aucun cas, je ne me moque des cardiaques : ceux de ma famille souffrent le martyre.
Mon coeur me fait parfois souffrir.
Permettez que je me retire puisque nul avocat ne me défend.
Totalement bouleversée, je maintiens ma confiance totale en Didier et je l'estime profondément. Je sais combien des mots sortis de leur contexte peuvent ensanglanter les coeurs.
Il nous faut plus d'une minute de silence devant ce massacre. Il nous faut retrouver la paix en monastère ou dans le désert, en montagne ou en forêt, la laisser habiter nos oeuvres.
A tous ceux qui souffrent, je demande pardon. A Didier, j'offre les larmes de mon coeur et restons à distance puisque nous sommes brisés. A Liza, je redis mon amitié par-delà l'incompréhension de l'enchaînement des faits. A Marie-Do, je dis merci pour tous les poèmes totalement en écho par rapport aux aquarelles de Didier. Lorsqu'un marin fait naufrage, les secours lui viennent en aide. Il faut aller vite.
Mes mots maladroits ont pris un sens que jamais je ne leur ai donné, car si je l'avais fait, je ne serais plus en vie, à cette heure. Je me serais lapidée moi-même. Je crains d'être incomprise. Si Dieu existe, Il veille sur mes mots et leurs retouches. Il passe derrière moi si j'ai blessé à mon insu.
Me pardonner m'est difficile car j'ignore quelle est ma véritable faute. Ma croix s'est alourdie et je me vide de mon sang.
Je voulais vous dire cela, ce soir, dans ma profonde tristesse. Vous m'oublierez. Je ne suis rien et mon blog étale une vacuité qui croyait en l'amitié, en l'amour, en l'Agapè.
L'utiliser n'était pas une faute, mais pour des raisons personnelles, je ne souhaitais pas d'appels téléphoniques de personnes que je ne connais que virtuellement. Je ne vis pas seule.... suis engagée. Je n'habite pas chez moi, suis hébergée.
Un homme amoureux de moi alors que j'avais une trentaine d'années me harcelait de téléphones, notamment dans la nuit. Ce harcèlement a duré cinq ans. J'ai failli y laisser ma peau. J'ai appris à me méfier du téléphone.
Mon coeur bat trop vite : c'est une petite conséquence de la prise de médicaments due à ces histoires auxquelles je ne comprends rien.
Liza m'a dit qu'elle connaissait Didier depuis trois ans. Je ne comprends pas pourquoi ni comment elle donne à Didier l'accès de sa boite e-mail, parce qu'il se blesse avec des messages liés aux dialogues que j'ai eus avec Liza qui s'est présentée comme l'amie de Didier, ce que je respecte totalement.
Ce genre de sacs de noeuds blesse tout le monde.
Que ceci nous serve à être prudents dans tout ce qui passe par internet.
Rien ne vaut la lampe à pétrole et le calame.
J'ai demandé pardon dans le blog précédent et je redis combien je suis peinée d'avoir blessé Didier sans le vouloir.
En aucun cas, je ne puis me moquer du décès de sa fille et du décès de son petit fils, décès que je suppose accidentels car je ne suis au courant de rien. J'ai perdu mon fils âgé de quatre ans. Tout ceci est horrible.
J'ai évoqué un homme amoureux de moi : Thierry et sa soeur étaient les seuls survivants d'une famille de neuf enfants. Thierry venait d'être majeur lors du suicide de sa mère. Il a pris en charge sa fille. Brillant étudiant, il avait une maitrise de droit puis a fait L'Ecole du Louvre. La douleur des drames de sa famille l'avait brisé. Néanmoins, il trouva un emploi dans une galerie d'art et monta en grade. J'ai aimé cet homme que la douleur avait brisé. Je souhaite qu'il ait pu retrouver sa sérénité, et une relation d'amour sur tous les plans.....
En aucun cas, je ne me moque des cardiaques : ceux de ma famille souffrent le martyre.
Mon coeur me fait parfois souffrir.
Permettez que je me retire puisque nul avocat ne me défend.
Totalement bouleversée, je maintiens ma confiance totale en Didier et je l'estime profondément. Je sais combien des mots sortis de leur contexte peuvent ensanglanter les coeurs.
Il nous faut plus d'une minute de silence devant ce massacre. Il nous faut retrouver la paix en monastère ou dans le désert, en montagne ou en forêt, la laisser habiter nos oeuvres.
A tous ceux qui souffrent, je demande pardon. A Didier, j'offre les larmes de mon coeur et restons à distance puisque nous sommes brisés. A Liza, je redis mon amitié par-delà l'incompréhension de l'enchaînement des faits. A Marie-Do, je dis merci pour tous les poèmes totalement en écho par rapport aux aquarelles de Didier. Lorsqu'un marin fait naufrage, les secours lui viennent en aide. Il faut aller vite.
Mes mots maladroits ont pris un sens que jamais je ne leur ai donné, car si je l'avais fait, je ne serais plus en vie, à cette heure. Je me serais lapidée moi-même. Je crains d'être incomprise. Si Dieu existe, Il veille sur mes mots et leurs retouches. Il passe derrière moi si j'ai blessé à mon insu.
Me pardonner m'est difficile car j'ignore quelle est ma véritable faute. Ma croix s'est alourdie et je me vide de mon sang.
Je voulais vous dire cela, ce soir, dans ma profonde tristesse. Vous m'oublierez. Je ne suis rien et mon blog étale une vacuité qui croyait en l'amitié, en l'amour, en l'Agapè.